Les troubles schizophréniques
Qu'est-ce que la schizophrénie… n'est pas?
Étymologiquement, le terme schizophrénie vient du grec skhizein qui veut dire séparer et phren, esprit. C'est peut-être la raison pour laquelle beaucoup pensent que la schizophrénie est un dédoublement de personnalité.
Généralement, les personnes qui souffrent de dysmorphophobies n'ont pas conscience d'avoir un problème psychologique. Elles sont donc peu nombreuses à consulter, malheureusement.
Les patients confient le plus souvent que leur trouble a commencé par une "prise de conscience" au sujet d'un défaut physique. Celui-ci est perçu comme extrêmement gênant.
Dysmorphophobie: une définition étymologique
L'État de Stress Post-Traumatique est un trouble réactionnel qui s'installe dans la durée. Il touche les personnes ayant vécu ou ayant été témoins (y compris par visionnage sur un écran!) d'un événement ressenti comme terrifiant.
On parle de trouble dépressif uniquement si les symptômes de la dépression s'installent dans la durée. Le trouble dépressif est à différencier de la déprime passagère ou du chagrin qui fait suite à un événement difficile (deuil, maladie, perte d'emploi, etc).
La dépression nerveuse ou trouble dépressif est un trouble psychologique caractérisé par un sentiment de tristesse sévère et présent la plupart du temps ainsi qu'une baisse de plaisir ou d'intérêt pour les activités qui étaient jusque-là agréables (anhédonie).
Quoi de plus naturel que de mastiquer ? Pourtant, certains ne supportent pas d'entendre les bruits de mastication de leur entourage au point que cela déclenche chez eux une aversion, du dégoût, une grande colère, parfois même des réactions impulsives incontrôlables. On parle de misophonie, littéralement : haine du bruit.
Dérivé des mot grecs “agora” qui veut dire place publique et “phobie” qui signifie peur, l’agoraphobie désigne en psychologie la peur intense de se trouver dans des endroits publics et vastes, qu’ils soient fréquentés ou vides (halls de gare, grands magasins, ponts, autoroutes…)
Le burn out existe aussi chez les athlètes de haut niveau.